Programme :
- 32 Chambres d’internat
- Réhabilitation façades extérieures
- 32 Chambres d’internat
- Réhabilitation façades extérieures
Construit en 1959 par les architectes R. Egger et E.F. Chabanne, l’ancien Lycée Montaury de Nîmes a été édifié en bas de la colline éponyme.
Le bâtiment F regroupe des salles d’enseignement et un internat sur ses deux niveaux culminants.
Positionné en partie haute du Lycée Albert Camus, le bâtiment F est fortement exposé aux rayonnements solaires, en résulte une surchauffe estivale importante de l’ensemble des espaces intérieurs. Associé à une dégradation des menuiseries extérieures, d’une isolation faible et de carbonatation du béton, une réhabilitation thermique et structurelle était urgente pour assurer la qualité de vie des utilisateurs.
Le projet met en place une dualité de protections solaires, marquant les rythmes existants, s’affirmant aux orientations les plus exposées et s’harmonisant lorsque le rapport se fait à la pinède. En résulte une abstraction protectrice qui marque les trames structurelles par des plis métalliques tout en séquençant le grand linéaire existant.
Les chambres de l’internat sont organisées pour permettre aux trois pensionnaires de bénéficier d’espaces individuels tout en conservant des rapports communs. Pensés avec les Lycéens et Lycéennes, ces lieux de vie bénéficient d’un petit salon partagé, d’assises, rangements, filtres visuels… l’ensemble est organisé comme un micro-appartement oú la vue sur l’extérieur est centralisée et la vie intérieure apaisée.
Le bâtiment F regroupe des salles d’enseignement et un internat sur ses deux niveaux culminants.
Positionné en partie haute du Lycée Albert Camus, le bâtiment F est fortement exposé aux rayonnements solaires, en résulte une surchauffe estivale importante de l’ensemble des espaces intérieurs. Associé à une dégradation des menuiseries extérieures, d’une isolation faible et de carbonatation du béton, une réhabilitation thermique et structurelle était urgente pour assurer la qualité de vie des utilisateurs.
Le projet met en place une dualité de protections solaires, marquant les rythmes existants, s’affirmant aux orientations les plus exposées et s’harmonisant lorsque le rapport se fait à la pinède. En résulte une abstraction protectrice qui marque les trames structurelles par des plis métalliques tout en séquençant le grand linéaire existant.
Les chambres de l’internat sont organisées pour permettre aux trois pensionnaires de bénéficier d’espaces individuels tout en conservant des rapports communs. Pensés avec les Lycéens et Lycéennes, ces lieux de vie bénéficient d’un petit salon partagé, d’assises, rangements, filtres visuels… l’ensemble est organisé comme un micro-appartement oú la vue sur l’extérieur est centralisée et la vie intérieure apaisée.