Programme :
- Ecole maternelle (6 classes)
- Ecole élémentaire (9 classes)
- Espaces communs
- Centre médico-social
- Espace inspection et circonscription
- Ecole maternelle (6 classes)
- Ecole élémentaire (9 classes)
- Espaces communs
- Centre médico-social
- Espace inspection et circonscription
Situé à Saint-Gilles à proximité du Parc National de la Camargue, le site d’intervention s’articule entre la limite du Centre-ville et le début du tissu pavillonnaire, dans un entre-deux à l’identité transitoire.
Le bâtiment, construit en 1953 par Ernest-Ferdinand Chabanne, est à l’origine des bains douches à l’identité marquée.
Le parti-pris d’extension se base sur l’importance de libérer le sol pour valoriser les cours de récréation. Ainsi, il a été décidé d’agir à l’instar d’un palimpseste en prenant possession des toitures existantes à l’aide de grands portiques bois.
Se superposent donc des entités, des systèmes constructifs et des temporalités bâties différentes.
La structure bois a été privilégiée pour sa rapidité de mise en œuvre, garantir un chantier efficace et mettre en avant l’utilisation de matériaux bio-sourcés. Les murs de façade existant ont été conservés et font maintenant partie du cloisonnement intérieur.
Le projet d’extension met en place un jeu de porosité avec l’extérieur. A l’aube il révèle par transparence la structure de ses espaces, en opposition aux reflets de la journée et aux opacités des stores l’après-midi.
Ainsi, les ouvertures invitent le paysage dans les salles de classe, rythmant l’image de la ville qu’ils cadrent.
Au cœur de l’École se dévoile un atrium, véritable lieu d’articulation et de rassemblement, qui permet de mettre en relation perpétuelle les espaces réhabilités du RDC et les espaces créés à l’étage. Au croisement des systèmes urbains, l’Ecole Maternelle « Les Calades » offre une dualité d’expression volontairement lisible qui interroge et témoigne de l’évolution du lieu.
Le bâtiment, construit en 1953 par Ernest-Ferdinand Chabanne, est à l’origine des bains douches à l’identité marquée.
Le parti-pris d’extension se base sur l’importance de libérer le sol pour valoriser les cours de récréation. Ainsi, il a été décidé d’agir à l’instar d’un palimpseste en prenant possession des toitures existantes à l’aide de grands portiques bois.
Se superposent donc des entités, des systèmes constructifs et des temporalités bâties différentes.
La structure bois a été privilégiée pour sa rapidité de mise en œuvre, garantir un chantier efficace et mettre en avant l’utilisation de matériaux bio-sourcés. Les murs de façade existant ont été conservés et font maintenant partie du cloisonnement intérieur.
Le projet d’extension met en place un jeu de porosité avec l’extérieur. A l’aube il révèle par transparence la structure de ses espaces, en opposition aux reflets de la journée et aux opacités des stores l’après-midi.
Ainsi, les ouvertures invitent le paysage dans les salles de classe, rythmant l’image de la ville qu’ils cadrent.
Au cœur de l’École se dévoile un atrium, véritable lieu d’articulation et de rassemblement, qui permet de mettre en relation perpétuelle les espaces réhabilités du RDC et les espaces créés à l’étage. Au croisement des systèmes urbains, l’Ecole Maternelle « Les Calades » offre une dualité d’expression volontairement lisible qui interroge et témoigne de l’évolution du lieu.